Nos vergers comportent différentes espèces d’arbres fruitiers mais ce n’est qu’avec des pommes que nous faisons du jus de fruits. En effet, les abricots, pêches ou cerises arrivent rarement à maturité sans être chapardés et nous n’en voyons pas la couleur, c’est le cas de le dire. Quant aux poires, elles sont rares et plutôt à consommer rapidement après récolte.
Par contre, les pommiers sont très productifs et nous avons pu amener les fruits chez Patrick M., à Revel, qui nous a offert de nous servir de son pressoir à vis.
Cette année, même si nous avons gardé des pommes atteintes par les carpocapses alors qu’il aurait fallu les éliminer tout de suite pour ne pas favoriser la propagation du bio-agresseur, nous avons pris soin de ne garder que les parties non abimées des pommes et le jus était bien meilleur que l’an dernier.
Chaque personne présente a pu repartir avec quatre ou cinq litres de jus, à consommer rapidement, à congeler en bouteilles de verre ou à pasteuriser.